vous aussi, surement....

Un enfant de huit ans chante dans mon esprit,
Des ballades contant des histoires enivrantes et épiques,
Sur un noble hero defiant les evidente defaites,
Sur une radieuse damoiselle usant de sa lame en esthete.
Des coeurs purs, loin de la modernité de notre age,
Loin d'une vie qui nous nourris au fourrage.
Ils empruntent ce ruban brillant au clair de lune,
Ce mysterieux chemin qui n apparait qu aux heures nocturnes.
Les memes regards pétillants,
Les memes sourrires edifiants,
A la poursuite de l exaltation de l aventure,
Et des braises des doux méandres de l amour.
Un enfants de huit ans chante dans ma tete,
Et Dieux faitent que jamais il ne s'arrete.

A tous ceux ou celle, qui s y reconnaitront^^

On se rend compte si un jour il s'arrête?

Je pense que si ue partie de notre âme s éteint, oui on s en rend compte^^

PERS...



Ce soir je crayonne mes écorchures,
Assis parterre, face au sombre azur.
Je savoure l'hypnose de mes pensées,
Douce mélancolie par tes yeux attisée.


Beau comme l'aube et le crépuscule,
Ton regard involontairement me bouscule.
Désarmé, rien, je ne peux rien faire,
face à cette paire de perles pers.


Mon âme navigue vers tes rivages,
Faisant des lignes de tous virages,
Enflant mes voiles de ton air,
Guidé par ta paire d'étoiles polaires,... Pers...





Cyrille

Braise


Lentement le soir eclaire mon âme,
Du feu d'une allumette, ou d'une bougie,
A tes pieds je déposes mes armes,
Sans heurts ni larmes ni cris.

J'ai fais de toi ma douce ennemie,
Mais l adversaire en mon coeur git.
Abattu, vaincu, mais sans dépit,
Délicieuse defaite, oui j en ris.

Inscrite en nous au point de l oublier,
La Peur est son nom si redouté.
L'orgueuil nous la fait souvent ignorer,
Ridicule? C'est ma foie vrai.

Lorsqu'un regard dépose une braise,
Au fond d une âme, s y sentant a son aise.
Involontairement volontaire,
Inconsciemment crée une guerre.

Car une braise à elle-même ne se suffit,
Dévorant d'abord, les alentours affaiblis,
Posément altérant les remparts,
Lentement faisant chuter les murailles.

Cette fatale braise est un nom, un sourire,
Un regard, un souffle, toujours plaisir.
Tu es devenue l alchimiste de mes émotions,
Merveilleuse muse de cette narration.



Cyril

On a Francis Lalanne dans la guilde? :p